Novak Djokovic représente le cœur du peuple serbe. C’est seulement alors que l’on comprendra qu’après une saison avec sept titres, dont trois Grand Chelem et la finale de l’ATP à Turin, il est prêt à faire un dernier effort et à se rendre à Malaga pour remporter la Coupe Davis.
Le Serbe, qui avait déjà inscrit son nom au palmarès du tournoi en 2010, souhaite à nouveau soulever le Saladier d’Argent. Ce jeudi attend une Grande-Bretagne dans laquelle Andy Murray et Dan Evans sont tombés sur blessure. Je n’ai pas rencontré Cameron Norrie.
Rappelons qu’hier il est devenu le deuxième joueur de l’Open Era, après l’Australien Ken Rosewall, en atteignant 55 victoires en une saison après 35 ans. Rosewall y est parvenu en 1970 et 1973.
Motivation pour 2024
« On peut toujours remporter les quatre ‘Grand Chelem’ et l’or olympique. J’ai toujours les objectifs les plus élevés. Mon corps résiste bien et j’ai une super équipe derrière moi. Les gens me voient concourir sur les grandes scènes, mais pas » Il voit jour après jour, le travail qu’il faut faire pour arriver au Grand Chelem dans la meilleure forme possible et dans le cas de l’année où je suis venu aussi aux Jeux Olympiques. »
L’or olympique qui manque
« C’est l’un de mes grands objectifs avec les tournois du Grand Chelem. Le calendrier va être un défi car nous allons passer du court lent au rapide et encore lent. De la terre à l’herbe, de l’herbe à la terre et puis du dur. « .
La meilleure version de Novak
« Je dirais que le meilleur est le Novak d’aujourd’hui. C’est vrai qu’en 2015 j’ai fait une belle année avec 19 finales d’affilée. Maintenant je choisis les tournois et je ne joue plus autant qu’avant. »
Alcaraz et pécheur
« Quand je joue contre eux, je veux qu’ils sentent qu’ils devront tout donner s’ils veulent me battre. Cela m’aide à aborder le match au niveau mental. »