Masters Rome 2023 : Carlos Alcaraz tombe devant le ‘qualy’ Marozsan à Rome et regarde déjà Roland Garros

Non.ou il y a le mal qui ne vient pas pour le bien. Carlos Alcaraz ha cedido este lunes en la tercera ronda del Masters 1000 de Roma ante Fabian Marozsan, por 6-3 y 7-6(4), y tendr tiempo suficiente para preparar con garantas el asalto a Roland Garros (28 de mayo al 11 de juin).

Le tennisman, qui avait joué 13 matchs au cours des 28 derniers joursa besoin de repos après avoir enchaîné les titres de Barcelone et de Madrid pour la deuxième année consécutive.

Marozsan, son bourreau, il lui faut plutôt le contraire car il est dans son moment et être un rival dangereux pour tous ceux qui restent dans la compétition. Son prochain engagement sera Borna Coric. La victoire contre le numéro un ne garantit même pas le statut de ‘top100’.

Sur une surface très lente en raison de l’humidité provoquée par la pluie ces derniers jours, le Murcien a eu une première balle de « break » dans le match initial.

Alcaraz ne connaissait pas son adversaire et un géant de 1,93 mètre avide de gloire a été retrouvécapable d’échanger des coups depuis le bas de la piste.

Le Hongrois arriva et enchaîner huit points pour aller de l’avant 3-1. Il s’est même offert le luxe de faire tomber le plus grand spécialiste du circuit. Il poursuivra son moment jusqu’à 4-1, aidé avec 83% de points gagnés avec le premier service.

Les tribunes du champ central ont suivi les plus faibles et ont applaudi la performance de l’inconnu Marozsan à son cinquième match dans cette édition du concours. Il a battu Timofey Skatov et Felipe Meligeni lors de la phase de qualification, qui a presque coïncidé dans le temps avec le deuxième tour de l’Espagnol dans la Caja Mágica.

A l’issue du huitième jeu, mené 5-3, le deuxième favori du tirage au sort a changé de raquette en quête du break. Quatre sacs de son adversaire l’en empêchèrent. Le joueur de tennis naturel de Budapest avait perdu six points au service.

L’élève de Juan Carlos Ferrero a pris les devants 1-0 dans la suite et a crié « allons-y ». « Je me repose pour le centre long, il est très impliqué », lui a confié ‘Juanqui’.

Marozsan, qui s’était déguisé en Struff, ne lui a toujours pas ouvert la porte. Alcaraz a sauvé une sorte de « balle de match » contre avec un 2-2 et 0-40. Les siens étaient les cinq points suivants avec trois droits mordus de l’autre côté du filet. « zéro négatif« , a insisté son préparateur.

Fabian avait ressenti la pression de se sentir proche d’une victoire historique pour lui. C’était son jour et il l’a montré avec un deuxième « break » au septième round après avoir placé un ballon millimétré impossible à retourner..

Ils battaient Carlitos avec la ressource du drop, l’une de ses plus grandes armes. Le meilleur joueur de tennis du monde n’allait pas abandonner sans se battre. Il égaliserait à quatre et enflammerait les supporters italiens, accro à sa magie.

L’Espagnol a soulevé un point de 6-5 et a assuré la mort subite du deuxième set. Au ‘tie break’, malgré sa domination 4-1, Marozsan l’a emporté, un Hongrois avec un passeport mais qui a joué avec la froideur d’un Russe.

À l’horizon, c’est Paris où le joueur de tennis d’El Palmar apparaîtra comme numéro un mondial et comme première tête de série du tirage au sort. C’est ce qui compte maintenant.