Mutua Madrid Open 2023 : Head, Heart, Balls : la chanson rock de Carlos Alcaraz

hIl fut un temps où le monde de osciller et de la tennis les hommes étaient assez proches : les années 70. Des joueurs de tennis comme, surtout, John McEnroeWilliam villages ou quelque chose après Mats flâner étaient des musiciens compétents, tandis que d’autres comme Vitas la gerulaite ou Ilie Nastase ils se sont également déplacés quelque peu à cheval des deux mondes. Et ‘Supermac’, d’ailleurs, répondait assez bien au stéréotype de la ‘rock star’.

Plus tard, alors que le monde du tennis progressait dans la « technicisation », c’est-à-dire se refermer sur lui-même, le monde de la guitare et le monde de la raquette séparés. À la fin des années 1990, cependant, le contact a été rétabli grâce au présentation des joueurs de tennis sur le court au rythme de musiques, presque toujours rock, dans certains tournois. Parfois, la musique était choisie par les joueurs de tennis eux-mêmes.

Or, en cette deuxième décennie du 21e siècle, on dit souvent que le joueur de tennis qui correspond le mieux au « profil » d’une rock star est Carlos alcaraz. Il ne s’agit pas tant de faire allusion à sa personnalité que de l’effet qu’il provoque sur le public. Ses présentations sur la piste, en plus, utilisent l’attirail ‘bascule‘: Normalement il le fait accompagné des sones du thème de Survivor ‘The Eye of the Tiger’, un problème de style AOR (Album Oriented Radio, un sous-style de rock fantaisiste et « édulcoré »), mais adrénaline qui fait également référence au film ‘rocheux 2‘. Peut-être un choix un peu éculé, mais rien à dire, si ça marche pour Carlos. Au moins, ce n’est pas l’irritant « Nous sommes les champions ».

Mais aussi, Carlos Alcaraz est devenu inspiration bascule. Ses compatriotes du groupe pop-rock murcien Bois 80 a dédié une chanson à Carlos Alcaraz, composée par Tony capel. La chanson s’appelle « tête, coeur, couilles« , en hommage à la devise sportive et vitale que suit le joueur de tennis, que son grand-père lui a inculquée, qu’il s’est fait tatouer sur son bras gauche, et que la chanson transforme en un refrain puissant et accrocheur, très apte à chanter en même temps.

La chanson se veut un hommage au talent et au courage de Carlitos et, de tous les droits, il mérite d’aller au musée des thèmes espagnols inspirés du tennis qui a commencé populairement avec le ‘fou de tennis‘ de Florencio Torrelled -sans exclure que dans les années 30 il y avait un couplet tendu- et a continué avec ‘dance’, d’inspiration commerciale mais très efficace’Allez juste faire la Moya‘. Bien sûr, c’est une évolution.