Raphael Nadal Il exultait, s'adressant à Eurosport, après son passage au deuxième tour de l'épreuve individuelle de tennis aux Jeux de Paris. Cela mène à un match avec Novak Djokovic, dans ce qui est la plus grande rivalité de l'histoire du tennis.
Jeu. « Le premier set a été assez brillant par rapport à mon niveau actuel. Fucsovics s'est amélioré par la suite, mais je perds le rythme du match. J'arrête d'entrer et de sortir et je joue de manière plus statique, je ne joue pas en avant et en arrière, je donne lui la possibilité de jouer depuis la position qu'il préfère, qui est la droite inversée.
On commence à se sentir à l'aise et à prendre confiance et je rétrécis et c'est une roue qui avance. Au final, nous nous sommes sauvés avec 2-1, 0-40 avec quelques bons points et quelques erreurs de sa part. A partir de là, j'ai repris un peu plus d'énergie, j'ai encore essayé de ne pas le faire jouer aussi confortablement. Il est tombé de mon côté.
Philippe Chatrier. « Il y a des terrains sur lesquels on a plus de « sentiments » ou de souvenirs positifs que sur d'autres, bien sûr, ça aide, mais ce qui aide, c'est de bien jouer, de bien bouger, d'être suffisamment attentif à tout moment pour ne pas perdre de vue le ballon. C'est quelque chose qui, si tu ne joues pas tout le temps, tu le perds, le fait d'être concentré sur le ballon, j'ai du mal à lire où l'adversaire me tire ces derniers temps.